« Des femmes qui, il y a encore dix ans, pouvaient encore, en bataillant un peu, exiger le port du préservatif et refuser certaines pratiques jugées trop “hard”, et qui, aujourd’hui, sont obligées d’enchaîner les tournages à Budapest. Ou qui pensent trouver gloire et fortune en partant à Los Angeles où il est devenu normal de prendre des gifles, d’être étranglée, de suffoquer, d’être dilatée. » Tel est l’accablant constat que dresse Ovidie dans son documentaire Pornocratie, diffusé ce mercredi 18 janvier (Canal+, 21 h).
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