Depuis le 10 juin nous sommes plongés au coeur de l’Euro 2016.
En 2014, près de 20 millions d’internautes ont regardé la Coupe du monde sur des sites de live streaming illégaux.
Selon les données publiées par l’ALPA (Association de Lutte contre la Piraterie Audiovisuelle) via une étude Médiamétrie, 30 % des internautes français ont visité au moins une fois par mois un site de streaming ou de téléchargement en 2015, soit 14,1 millions de Français contre 13,4 millions en 2014.
Alors pourquoi l’Euro 2016 dérogerait-il à la règle ?
L’association Ennocence créée pour protéger les enfants des risques d’exposition à la pornographie en ligne rappelle que les sites illégaux sont les plus gros pourvoyeurs d’images à caractère pornographique accidentelles, notamment via l’ouverture intempestive de fenêtres pop-up, qui représentent à elles- seules 72 % des sources d’exposition accidentelle à la pornographie, selon une étude réalisée par OpinionWay pour Ennocence (que vous pouvez retrouver sur notre site).