Le danger ne vient pas principalement des vidéos que les mineurs peuvent rechercher sur des sites spécialisés, mais surtout de celles qui arrivent à l’improviste avec les fenêtres pop-up et les réseaux sociaux par exemple.
C’était les vacances et il faisait très chaud. Pour occuper ses trois filles, Alexandra leur a cherché un dessin animé sur l’ordinateur de la maison de location. Mais à l’heure du goûter, l’une des petites appuie sur pause… et une série de «fenêtres pop-up» surgissent, masquant La Reine des neiges. «C’était des gif (images animées) de pénétrations, raconte la mère de famille. J’ai pu parler à mes filles tout de suite. Mais dire qu’il y a des milliers d’enfants livrés à eux-mêmes devant l’ordinateur…»
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/07/08/01016-20150708ARTFIG00296-les-ravages-du-porno-en-ligne-sur-les-ados.php