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Mai 02

Femme Actuelle – Education à la sexualité Education sexuelle: une loi méconnue et mal appliquée

La dernière loi concernant l’éducation à la sexualité à l’école date de 2001. Si, théoriquement, 3 séances annuelles doivent être dispensées de la maternelle au lycée, c’est rarement le cas. Le Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes (HCE) a justement été saisi par les ministères de l’éducation nationale et du Droit des femmes pour évaluer la situation et proposer des solutions. Leur travail devrait aboutir avant la fin de l’année scolaire.

Puberté, fécondation, organes génitaux…En plus du programme qui prévoit des cours sur la reproduction en CM2, 4ème, 3ème et seconde dans les cours de SVT, trois séances annuelles sont obligatoires, cette fois de la maternelle à la terminale, pour dépasser la pure question biologique. Elles sont animées par l’infirmière scolaire – si elle est formée – ou par des associations (Planning familial, Crips notamment). On y parle, en primaire, d’égalité filles-garçons, de « comment on fait les bébés », de l’état amoureux mais aussi de prévention des violences. Dans le secondaire, tout ou presque est passé en revue: prévention des risques (IST-Sida), contraception, sexisme et homophobie, violences sexuelles, connaissance du corps… « Ces séances nous permettent de poser des repères, d’identifier avec eux les personnes et les lieux où ils peuvent s’adresser en cas de question ou de problème, de répondre à certaines angoisses de l’entrée dans la sexualité et surtout de déconstruire les nombreuses idées reçues qui persistent encore, notamment sur la contraception et le VIH », explique Jean Spiri, président du Crips*. « Nous travaillons beaucoup autour de la question du consentement, du respect de l’autre. Nous tentons de les rassurer par rapport aux images véhiculées par la pornographie. Elles génèrent de l’inquiétude du côté des garçons quant à la performance et de la peur du côté des filles, par rapport à une certaine violence. D’où l’intérêt des groupes mixtes, qui permettent d’entendre les angoisses de l’autre sexe », précise Caroline Rebhi, responsable de la commission éducation à la sexualité du Planning Familial.

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